[Octobre 2010] De Cedar Point à Walt Disney World : 5300 km en 2 semaines !

merci de ta réponse rapide c'est bien de celle là que je parlais. Bon j'espère pouvoir goûter

Y'en a dans tous les fast-food, et ça existe aussi en boisson dans les supérettes, les stations service...
Dommage qu'on en ait pas ici, ça me manque aussi cette cochonnerie !

je t'en ramène un stock si tu veux si j'en deviens accro ça sera de ta faute

J'ai enfin eu le temps de vous rédiger la septième partie écrite du trip-report ! Désolé pour le contre-temps mais exams et activités diverses obligent
Pour lire sur le blog et voir plus d'images, c'est par ici

Road-Trip USA : Septième Partie

12h30 : Après un trajet assez agréable sur l'immense highway liant Atlantic City à Philadelphie (par la diversité des paysages, la température parfaite et la qualité de la route (bah oui, c'est pas comme en Belgique ici !)), nous arrivons à la périphérie de Philadelphie que nous reconnaissons de loin par ses buildings que nous avons déjà vu deux fois. En effet, on les avait vu la veille puisque notre autoroute nous menant à Atlantic City longeait la ville, mais aussi lors de notre correspondance entre Paris et Détroit. Aujourd'hui, enfin on y passe vraiment ! On commencera notre visite de la ville en longeant un port où un très vieux paquebot attire notre attention, et après avoir trouvé l'entrée des docks, on a demandé au gardien si on pouvait filmer/prendre des photos et avoir quelques infos sur le navire. Et bien que le chantier de ce monstre était interdit au public, en tant que bons français avec notre culot légendaire, on a pu obtenir ce que nous voulions ! Il s'agit d'un navire qui date tout de même de 1952, aujourd'hui, il est en cours de rénovation et est passé de propriétaire en propriétaire qui ont reporté sa réhabilitation jusqu'à ce qu'il soit a nouveau en possession du pays, notamment par des donations faîtes par des familles américaines, sympa de leur part.



Bref ! Après cette parenthèse culturelle, dirigeons nous vers une autre destination culturelle : Le Liberty Hall, situé au cœur de Philadelphie, c'est l'endroit où fut signée la déclaration d'indépendance des États-Unis, un document cher à tout citoyen américain qui date tout de même de 1776. Pour nous, pauvres incultes que nous sommes, c'est surtout le lieu où Nicolas Cage se fait poursuivre par de viles malfrats alors même qu'il tente de récupérer une paire de lunettes particulière qui lui servira à déchiffrer un plan invisible dans le dos de la déclaration d'indépendance (mais ce plan n'existe pas d'une part, et d'autre part, cette déclaration est à Washington). L'endroit est très calme, et nous trouvons ce lieu historique entouré de bâtiments plus modernes. Nous nous promenons autour de l'enceinte de la zone à visiter, cependant nous n'arrivons pas à trouver l'entrée. Au bout de quelques minutes, enfin nous accédons à une entrée et cette personne qui ressemble à un scout (certainement un employé de la garde nationale) nous précise bien gentiment que la visite va bientôt commencer. Ce sera lui qui nous fera la visite dans ce beau bâtiment (malgré qu'il soit en travaux) chargé d'histoire. Nous entrons dans une première pièce où il nous introduit la visite, il y a un tableau relatant du fameux acte fondateur du pays. Le monsieur demande alors d'où viennent les participants, et ce, un à un. C'est fou de voir la diversité des touristes bien qu'il y ait une majorité d'autochtones. Nous passons ensuite dans une grande pièce à l'architecture Géorgienne, c'est-à-dire que, comme le reste du bâtiment, tout est symétrique. D'ailleurs, bien qu'il y ait deux portes dans le fond de la salle, celle de gauche est une vraie mais pas celle de droite qui est une fausse mais qui répond à l'esthétisme des autres salles. Cette première salle avec un ton saumon, est celle dans laquelle se faisaient les ébauches et certaines parlementations. Mais la plus importante est la pièce lui faisant dos qui elle à la couleur grise, celle où se sont déclarés les signataires de la constitution comme les pères de la nouvelle nation. Notre guide nous montra aussi un reproduction de la déclaration en nous précisant qu'effectivement, il n'y avait pas de plan secret dans le dos histoire d'éviter les bonnes questions sur les faux mystères engendrés par la saga Benjamin Gates. En tout cas, ce fut un moment bien particulier, certains ressentant au fond d'eux un patriotisme exacerbé, et d'autres (comme nous) simplement respectueux de l'importance historique des lieux. Mais il est temps de partir, et cette fois pour un endroit bien plus mythique...



14h00 : Nous arrivons, après quelques détours des paumés que nous sommes, aux environs du Museum of Art de Phliadelphie. A ce propos, en traversant un carrefour, on aperçoit qu'au centre se trouve une statue dorée de Jeanne d'Arc (oui vous avez bien lu) mais à ce jour, je ne connais toujours pas la raison de sa présence là-bas ! Le Museum of Art est en effet un lieu célèbre mais pas pour ses œuvres. Il est célèbre pour ses marches, mais pas n'importe quelles marches, celles-là sont celles sur lesquelles Silvester Stallone alias Rocky s'entraîne avant le combat ! Et au pied de ces marches, un peu reculée sur la droite, se trouve la statue de Rocky ayant servi pour un des films de la saga. Culte n'est-ce pas ? A notre tour, on grimpera les marches pour admirer la vue imprenable sur Philadelphie avec l'immense boulevard central. Boulevard que nous descendrons pour aller jusqu'à la fontaine au pied de la mairie de la ville devant laquelle se trouve le fameux logo "LOVE". En remontant vers la voiture, on passe rapidement au Subway local pour, dans un premier, satisfaire un besoin naturel, mais aussi me prendre un litre de Dr. Pepper en free-refill, histoire de combler la perte récente d'un liquide corporel. Je reprends alors le volant et partons en direction d'un autre belle ville états-unienne, Baltimore.



17h30 : Le trajet étant un tantinet long, nous nous occupons à rédiger notre belle lettre d'excuse afin de ne pas payer le PV que nous avions eu à New-York (et puis c'est vrai, y'avait pas de panneaux, ni de bordure peinte en jaune). Écrite avec beaucoup d'humour, de culot et de fautes d'expression ou d'orthographe (oui, on fait genre on est des français incultes), nous nous excusons auprès de l'officier de police (alors que ça tombe dans un service qui n'a rien à voir avec ce type par le biais de cette lettre) en lui disant de vérifier lui même sur place s'il le désirait. Cela dit, j'ai quand même laissé mon adresse pour assumer nos responsabilités si jamais les fonctionnaires de police n'ont pas eu la flemme de faire suivre notre cas (ce dont je doute lol)... Pour les anglophones, je vous laisse lire ce courrier mythique ci-dessous



Mais finalement, on ne s'est pas ennuyés durant ce périple : entre les bonnes musiques d'Hélène Rolles niaises au possible dont les paroles et les thèmes ne changent pas d'une à l'autre (un garçon qui aime une fille et inversement, bah oui, elle était la star d'Hélène et les garçons, argh !), l'insecte qui a tenté d'envahir notre 4X4 et les regards bien voyeuristes des conducteurs regardant Grandmath en train de feindre une gâterie alors que je conduisais consciencieusement... Les bons délires quoi ! Si bons que nous voyons déjà Baltimore se dresser devant nous. Nous y avions prévu d'y dîner dans sa zone portuaire où se trouve un centre commercial et une bien belle promenade le long d'un port. La ville fut une belle surprise : ayant un passé industriel conséquent, elle a su transformer ces installations de sorte qu'elle s'intègre bien dans le paysage, notamment la station d'énergie Power Plant avec ses quatre énormes cheminées (qui me font penser à la Battersea Power Station de Londres qui est sur la pochette d'Animals des Pink Floyd) qui a été transformée en immense médiathèque, en restaurants (Hard Rock Café, le bon Dick's (sympa le nom)...). Pour nous, ça sera (encore) un bon burger (pour changer) chez Five Guys que m'avaient conseillé Djidane et Matttthieu. Et effectivement, ça n'a rien à voir avec notre McDo ! Puis pour digérer toutes ces calories, on se promènera le long du port avant de faire route vers la capitale fédérale : j'ai nommé Washington DC.



00h00 : Nous arrivons enfin dans la capitale et posons nos affaires dans un Motel Six. On repart dans la foulée vers le centre historique de la ville organisé en forme de croix. Au centre on y trouve l'iimmmmeeennnsse obélisque (qui n'a rien à voir avec Paris, il est trèèèès haut, tellement qu'il dispose d'un signal lumineux pour éviter toute collision avec un appareil volant). Puis aux extrémités de cette croix, on y trouve verticalement le Capitol (leur assemblée nationale + sénat à eux) et le Lincoln Mémorial. Puis horizontalement, on y trouve un musée des documents nationaux (notamment là où se trouve la déclaration d'indépendance) avec au côté opposé, la maison blanche. Le tout, situé au cœur d'une immensité de verdure, ça en fait de la pelouse à tondre ! Ce soir, on se contentera d'aller jeter un coup d'œil à l'obélisque et de rejoindre le mémorial d'Abraham Lincoln. Que dire de ce moment... Je pense que, pour moi en tout cas, ce fut le plus apaisant de tout le séjour. Être dans ce lieu à une heure du matin vous fait profiter d'un calme absolu allié à un grand respect de l'historicité des monuments. Puis tout est immense à vrai dire, la distance qui sépare ces constructions est bien longue ! Mais je pense que niveau marche, on a déjà vu pire lol. La route de l'obélisque au mémorial fut très agréable en longeant des fontaines et ce long plan d'eau dans lequel Forrest Gump court pour enlacer Jenny en hippie. Puis, à ma grande surprise, la statue de Lincoln était vraiment immense, je la voyait plus petite que ça et beaucoup moins imposante. Vous m'aurez compris, c'était vraiment un moment exceptionnel et reposant qu'on a tous savouré, surtout avec le calme de la nuit et la douceur que nous accordait la température. Puis il n'y avait quasiment personne hormis les gardes nationaux toujours accueillants. On retournera à l'hôtel pour se coucher vers 2h00 du matin, après avoir profité de la connexion internet gratuite (enfin !) pour donner des nouvelles fraîches à la famille et aux amis. Nous nous couchons sereins et rêvons aux lieux géniaux que nous avions ou allons visiter (quoique, pas sûr, on était tellement crevés )...



A suivre les amis

La lettre pas mal, je vient de la lire, vous vous foutez bien de leurs... tronche pour rester poli... Grandmath à peur d'une petite bestiole... et la ( fausse ) gaterie de GM... MDR, bande de cochons... Super suite, merci G-force...

Enfin la suite! Super bien écrit, ça me remémore plein de trucs!

Allez, encore un chapitre et on sera au même niveau, début de semaine prochaine, je termine l'épisode 9!!

Super texte G-force encore une fois^^^ et oui GM je l'attend avec impatience

Super récit, une fois de plus, et à haute teneur en pédagogie de surcroît!
Et bravo pour la créativité dont vous faites preuve sur les photos, pas une pause n'est identique à une autre, je savais pas qu'on pouvait faire autant de choses avec deux bras et deux jambes.
Merci pour ce fantastique road-trip-report, c'est vraiment cool de nous embarquer un peu avec vous

Mythique cette lettre de réclamation. Merci encore pour ce grand TR (je mets ensemble les vidéos et récits, pour moi c'est un tout). Cela permet de nous détacher un peu du froid de Décembre.

La vidéo 9 qui nous entraînera jusqu aux bayous de la Louisiane sera en ligne d'ici quelques heures. Restez à l'écoute!

C'est bon ça, mais ça me donne du boulot avec ces trip-reports ! J'ai hâte, et puis se remémorer tout ça fait toujours plaisir, même en écrivant des romans

Episode 9: de Nashville à la Louisiane



Pour davantage de détails, photos et infos croustillantes, il faudra attendre le TR de G-Force

c est quand la prochaine video?

Génial ! "Can i shit with you?" j''ai adoré !! Et cette porte alors, vous l'avez ouverte???

myster a écrit:

c est quand la prochaine video?

Heu, j'ai posté la dernière il y a 6h... je peux pas aller plus vite que la musique

@ Pinkemi: finalement la porte a fini par céder, je ne sais même plus comment, je crois que je dormais déjà! lol

Le coup du " can I shit with you" ma tué lol ! Super sympa encore une fois

C'est moi qui a finalement réussi à ouvrir la porte en jouant un espion car j'ai bidouillé la serrure avec un cintre que j'ai trafiqué

Rhhaaaa, tout simplement E.X.C.E.L.L.E.N.T. !

J'ai beaucoup ri (comme tout le monde, j'imagine) en entendant "Can i shit with u?"

Par contre, à votre place, j'aurais été morte de trouille en voyant les énormes guêpes noires !!!

Après Mac Gyver, voici Mac G Force !!!

Alors G-force, à quand la suite...?

Oui Val, on attend la suite!

De mon côté, la vidéo 10 sera avec de la chance, publiée ce soir!

Vivement la suite ..... je pense que je vais vous embaucher pour mon futur TR en Mai

Citation :

De mon côté, la vidéo 10 sera avec de la chance, publiée ce soir! Wink

Prions !

Oui les amis, laissez moi le temps de respirer A ce propos, voilà la partie 8 rédigée du Trip-Report disponible ici sur le blog :

Road-Trip USA 2010 : Huitième partie :

Vendredi 25 septembre :



9h30 : Nous nous réveillons après une bonne nuit bien régénératrice mais commençons très dur avec un défi digne des tarés de Jackass. Nous goûtons tour à tour l'immonde boisson achetée la veille par Julien (je crois) nommée "Refresh Grape" qu'il a laissé tellement le goût était infecte, même fraîche ! Durant la nuit, elle a donc bien eu le temps de macérer à l'air libre, et je peux vous garantir que je ne comprends toujours pas comment un tel truc peut être commercialisé lol ! Bref, on s'habille et on fonce vers le cœur touristico-historico-politique de Washington pour faire le tour du majestueux Capitol. Nous avons pu nous garer à proximité et avons vidé nos dernières pièces dans le parcmètre pour avoir le temps de se promener dans les environs. Sur le chemin, on longe de grandes aires de verdure et d'arbres parsemés ci-et-là, c'est très aéré et vraiment agréable à voir. Une fontaine rafraichissante est sur notre chemin, on s'y pose pour sentir du bout des doigts sa température mais ça dégénère instantanément en mini-bataille d'eau. Mais il faisait tellement chaud que nos vêtements ont séché en cinq minutes montre en main ! Nous progressons donc vers l'immense dôme blanc tout en croisant de mignons écureuils et un employé-jardinier qui nous fait rire par sa posture avec son tuyau d'arrosage (jolie l'imagination lol)... Nous arrivons au pied de ce magnifique bâtiment, il est d'ailleurs étroitement surveillé par des agents de sécurité qui nous empêchent même de sortir le trépied en face de son entrée principale. C'est pas grave, faisons le tour ! Nous empruntons encore une fois un chemin bien agréable au sein de la verdure, et de la grande aire de pelouse derrière le Capitol, on pourra enfin poser notre trépied !



Julien fera quelques clichés supplémentaires, mais Erwan, Grandmath et moi allons nous poser à l'ombre d'un arbre. Il devait faire 35°C ou plus, et le soleil était au zénith sans qu'aucun nuage vienne atténuer ses rayons. J'ai vraiment eu un coup de chaud à cet instant, mais la petite pause me fit du bien, surtout après avoir trouvé dans un renfoncement une petite fontaine d'eau potable située dans une petite ruine faîte de briques rouges envahie par des pousses de lierre. C'était un coin vraiment charmant et étonnant à voir dans un tel endroit. Nous retournons à la voiture et enchaînons avec la fameuse Maison Blanche. La rue qui passe devant ses grilles est obstruée à ses extrémités par des blocs de béton ainsi que par des voitures de policiers montant la garde. Les grilles délimitant la propriétaire sont usées par le passage des touristes qui y posent leurs mains, tout la peinture disparaît, ça dit leur coûter cher à refaire tous les deux/trois jours j'imagine vu la vitesse de l'usure . Les jardins sont vraiment magnifiques, tout comme la White House. Et détail amusant (pour nous, pas pour d'éventuels terroristes), il y a des trépieds sur le toit, certainement pour des snipers postés là par sécurité pour défendre le bon Barrack ! Avant de retourner à la voiture, on fera vite fait un tour dans une boutique qui vend des souvenirs de la capitale. C'est beau, mais parfois, c'est un peu kitsch aussi. Vous auriez aimé avoir une assiette souvenir avec Barrack et Michelle gravés et peints dessus ?.. C'est comme en Angleterre avec la famille royale, mais de mon point de vue, c'est assez drôle et exagéré à la fois. On croisera aussi un beau camion de pompier filant à la rescousse de la veuve et de l'orphelin, et sur le trottoir on achètera quelques cartes postales de la capitale fédérale et des boissons pour étancher notre soif de plus en plus insoutenable.



13h30 : Heureusement, on va pouvoir profiter de la climatisation de la voiture pendant notre route vers Nashville, soit à peu près 11 heures de route. En effet, la clim', on va bien en profiter ! La route sera ponctuée par un petit McDo local (avec son délicieux et riche Angus Wrap alors que nous on a que de ridicules p'tits wraps !) et par une compilation de chansons d'Eddy Mitchell pour nous mettre dans l'ambiance "les USA vus par les frenchies". On arrivera vers 00h00 à Knoxville, à une heure et demie de route de Nashville, pour enfin nous poser dans un autre Motel Six, mais cette fois, en chambre fumeur (c'était une des dernières chambres disponibles). Pouah, quelle odeur ! Le tabac froid, c'est vraiment infâme ! Le motel est juste à côté de l'autoroute, notre aération fait un bruit de réacteur de mirage 2000, il y a des mégots sous les lits (mais on ne les remarquera que le lendemain matin) et le mur derrière la porte d'entrée comporte un gros trou causé par l'impact violent de la poignée. C'était assez visible bien que ce trou fut plus ou moins délicatement caché au plâtre blanc sur une tapisserie ocre... Bref, la fatigue fera qu'on tombera tous comme des masses en quelques minutes.

Samedi 26 septembre :

10h00 : Le réveil sonne et nos estomacs nous poussent à chercher dans les environs un fast-food servant le petit déjeuner. Le motel étant en pleine zone de carrefour autoroutier, il y a tout ce qu'il faut : supérettes, stations essence et fast-foods en tous genres. On jettera notre dévolu (une fois de plus) sur le McDo avec son omelette synthétique dégueulasse mais les pancakes furent délicieux avec le sirop d'érable et le bon jus d'orange frais. Bien ! Il est temps de rejoindre Nashville, enfin, d'abord sa périphérie avec un endroit touristique assez particulier... Nous prenons la route et doublons sur l'autoroute une horde de motards bien sympathiques, mais aussi une voiture plus jaune qu'un poussin avec les jantes brillantes à vous en aveugler.



12h30 : Nous arrivons enfin à notre destination, le Cooter's Place ! C'est LE musée sur la série The Dukes Of Hazzard, Shérif Fais Moi Peur en version française. Pour ma part, je ne connais que quelques rares épisodes que j'avais vu plus jeune sur la chaîne Coméd!e mais la voiture située devant le musée est immédiatement reconnaissable, la fameuse General Lee tout d'orange vêtue et arborant fièrement sont grand N°01. Le lieu est tenu par une vieille dame et son mari (qui était absent ce jour là). Tous les deux sont d'énormes passionnés et ont collectés tous ce qu'ils pouvaient en rapport avec la série. Des courts shorts en jean de Daisy Duke (qui lui donnera son nom fictif dans la série car ils sont créés à l'occasion de cette dernière) aux voitures de la série en passant par des produits dérivés de toutes sortes entre autres objets issus de la série (le vis du pont qui saute dans je ne sais quel épisode, le sens du détail lol !).



D'ailleurs, pour pouvoir visiter les 4 voitures exposées dedans ou dehors, ça coûte 10$ par personnes. Mais en bons français venant de loin, on a sympathisé et surtout bien négocier pour payer une seule fois 10$ et avoir accès à tout. Et la gentille dame nous fera tester le klaxon spécialement pour nous, même chose pour le moteur vrombissant de la General Lee. Pourtant, quand nous sommes arrivés, il n'y avait pas grand monde, mais avec ces démonstrations, une foule commença à s'amasser autour de ce lieu culte. Comme quoi, on a fait une bonne pub finalement ! Donc n'hésitez pas à visiter leur site internet (http://cootersplace.com/) sans oublier de devenir fan de leur page facebook !



En tout cas, ce fut impressionnant de voir tous ces objets plus insolites les uns que les autres, auriez-vous aimé avoir votre cabane en tissus The Dukes Of Hazzard quand vous étiez petits ? Et en plus de ces objets, il y avait aussi une boutique avec des objets de la série et créés spécialement pour le musée. C'est pourquoi aujourd'hui je porte fièrement mon T-shirt Good Ol' Boys estampillé Cooters Place à Nashville. Avant de partir, nous n'oublierons pas de visiter le bâtiment d'à côté dédié au chanteur country Willie Nelson, mais on se limitera à son general store car le mini-musée était payant. On aura quand même notre photo avec l'icône nationale de la musique country ! Bien, après ce bouillon de culture, il est temps de partir pour l'un des berceaux du rock, Nashville.



A suivre ! D'ailleurs, je pense qu'à la reprise des cours, j'aurai un peu de temps pour avancer durant mes longues pauses

Super TR G-Force encore une fois =)

et je croise les doigts pour la vidéo =)