Netflix [Plateforme de streaming - 2007]

Au fait, j'y pense, rajoute Vivo à la liste des films à voir même si je pense que c'était une évidence pour toi.

J'ai vu ce titre, Netflix doit déjà me connaître, il me le met sans arrêt en suggestion.

Olikos a écrit:

Disney+, c'est la galère, faut le faire systématiquement sur chaque appareil et à chaque reconnexion, parfois même film par film. Atroce.

Allons bon, j'imagine que c'est selon les appareils ou les systèmes. Je n'ai pas ce problème et heureusement, car je jetterai mes appareils par la fenêtre à chaque fois, sinon !

Netflix a profité que je m'absente une semaine pour purger ma liste "reprendre..." dans laquelle j'avais "the rain" (que j'avais laissé tomber) et "les 100" (que je regardais de temps à autres) ; du coup j'ai démarré "Arrow".

Si je ne dis pas de bêtise, les séries sont automatiquement enlevées de la catégorie "reprendre..." si ça fait plus de deux mois qu'on ne les a pas relancées.

Netflix a augmenté ses tarifs sans sommation jeudi. L'offre Standard passe de 7,99 euros à 8,99 euros par mois, l'abonnement Essentiel de 11,99 euros à 13,49 euros et le Premium de 15,99 à 17,99 euros.

Les abonnés Freebox Delta ne subissent pas de hausse, pour l'instant, sur l'offre standard incluse mais l'augmentation sera répercutée pour les 2 autres tarifs si vous les avez souscrits.

Un possible projet de festival organisé par Netflix dans certaines salles de cinéma françaises agace les distributeurs indépendants. Selon eux, promouvoir les productions du service de streaming ne fera que pousser les spectateurs hors des salles obscures.

premiere.fr a écrit:

Le monde de la distribution française réagit (mal) à la tenue du festival Netflix

le 26/10/2021 à 12:10 par Elodie Bardinet

Il est prévu pour décembre dans une dizaine de salles de cinéma.

Netflix organise pour cette fin d'année un festival dans une dizaine de salles de cinéma de l'Hexagone, et cette idée n'emballe pas les distributeurs, qui ont écrit une lettre ouverte pour s'insurger contre ce projet. Le Film Français relaie leurs propos, tout en précisant quelques détails de la stratégie de Netflix, l'équipe de la filiale française de la branche américaine ayant été contactée pour en savoir un peu plus.

L'idée est de diffuser une partie de leurs productions le temps de quelques projections exceptionnelles (et payantes), partout en France, entre le 7 et le 14 décembre prochain. Une dizaine d'exploitants réfléchiraient à planifier des séances (l'article cite les cinémas Méliès de Saint-Etienne, ainsi que les réseaux Utopia et MK2), et la liste des films projetés est pour l'instant la suivante : The Power of The Dog de Jane Campion, The Hand of God de Paolo Sorrentino, Pieces of a Woman de Kornél Mundruczó, Clair-Obscur (Passing) de Rebecca Hall, The Lost Daughter de Maggie Gyllenhaal, Malcolm & Marie de Sam Levinson, The Guilty d’Antoine Fuqua, The Harder They Fall de Jeymes Samuel et Don't Look Up : Déni cosmique d’Adam McKay. Elle devrait être étoffée avant la date du début du festival.

Ces films ayant été produits pour être diffusés en streaming, Netflix devra obtenir des visas temporaires pour chacun d'entre eux auprès du CNC pour pouvoir les diffuser exceptionnellement sur grand écran. La firme assure qu'il s'agira "avant tout d'une événement rétrospectif, relativement modeste" et pensé comme "une célébration des films et des cinéastes sur grand écran". Ils proposeront en effet principalement des œuvres déjà disponibles sur Netflix.

L'annonce de ce festival Netflix a entraîné la colère des distributeurs indépendants, qui ont écrit un message commun, relayé par les syndicats DIRE et le SDI, afin dénoncer son organisation, perçue comme "une campagne marketing de grande échelle, une bande-annonce promotionnelle géante pour inciter des spectateurs de cinéma à s’abonner à un service payant". Ils rappellent ainsi que les productions qui doivent y être projetées "ne sortiront jamais en salles", car destinées "à être vues par des téléspectateurs, devant leurs écrans de télévision". Ils ajoutent avoir été "choqués" par cette annonce "après le lancement annoncé du nouveau film de Jane Campion, en exclusivité sur Netflix, un mercredi 1er décembre, jour symbolique de sorties de films au cinéma, Netflix a donc réussi à transformer les cinémas en antichambre de ses services".

Le communiqué s'insurge au passage sur la possibilité d'organiser ce festival alors que les films indépendants peinent à trouver leur public en salles, surtout après leur fermeture de plusieurs mois à cause de l'épidémie de Covid-19 : "A l’heure où de nombreux films, victimes des 7 mois et demi de fermeture des salles, peinent à trouver une exposition à la hauteur de leur potentiel, nous dénonçons la tenue d’un tel festival. (…) Si des œuvres assimilées à des "films de cinéma" se déploient sur les plates-formes, si les cinéphiles y trouvent leur compte, quel sera l’avenir des salles de cinéma et de tous ceux qui le font et le promeuvent ? (…) La découverte collective d’une œuvre cinématographique sur grand écran constitue une expérience unique et irremplaçable. Nous devons la défendre collectivement et solidairement." Les syndicats de distributeurs interpellent également les professionnels, notamment les exploitants : "Vous rendez-vous compte qu’une attraction à court terme de vos spectateurs est un suicide à moyen terme pour nos professions respectives ? Face à de tels choix, comment continuer à défendre, à vos côtés, le principe d’une exclusivité de plusieurs mois pour vos salles dans une nouvelle Chronologie des médias qui saura intégrer les plateformes à notre écosystème en respectant l’ordre des fenêtres de diffusion ?" Ils demandent aussi aux producteurs et cinéastes de réagir collectivement : "L’avenir de nos professions se joue aujourd’hui. Demain, il sera trop tard."

Voici le message complet, relayé sur les réseaux sociaux par Le Pacte :

https://twitter.com/Le_Pacte/status/1452671111422939137?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1452671111422939137%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.premiere.fr%2FCinema%2FNews-Cinema%2FLe-monde-de-la-distribution-francaise-reagit-mal-a-la-tenue-du-festival-Netflix

Source : www.premiere.fr

C'est moi ou je lis : Ils rappellent ainsi que les productions qui doivent y être projetées "ne sortiront jamais en salles", car destinées "à être vues par des téléspectateurs, devant leurs misérable petit écrans de télévision".

Du coup je me demande bien pourquoi on se décarcasse à diffuser des œuvres sur un écran de télévision, de surcroit de temps en temps coupées par des publicités, qui sont destinées à être diffusées dans les salles obscures sans aucune coupure.

Ils ont bon dos et la mémoire courte visiblement. Combien de fois des épisodes de séries TV ont été diffusés en salle ? Combien de projections spéciales de direct-to-vidéo (dont plusieurs DisneyToons) ? Combien de spectacles, concerts, pièces de théâtre et opéras retransmis en direct ou en différés ? Combien de festivals thématiques éphémères de films et téléfilms ? C'était déjà pas des pubs géantes pour la concurrence du cinéma ? Bref, quelle différence avec la proposition de Netflix qui veut en faire, en reprenant leurs propos, lui aussi une "découverte collective d’une œuvre cinématographique sur grand écran [qui] constitue une expérience unique et irremplaçable" ? Ah oui, je vois, ils récupèrent peut-être pas une partie du budget dans leur poche cette fois-ci. Parce que là, Netflix nous fait effectivement la chronologie des médias à l'envers (quelle excellente idée !).

On a l'impression de toujours entendre les mêmes arguments. La TV n'a pas tué le cinéma, le magnétoscope n'a pas tué le cinéma, la location en ligne n'a pas tué le cinéma, Netflix en fera de même. Proposez-nous de la nouveauté, promulguez-nous des choses qu'on ait envie d'aller voir dans une salle et arrêtez de proposer des centaines de blockbusters américains et comédies françaises interchangeables ! Netflix a cette fois l'idée de proposer quelques chose d'original aux cinémas, en cette période de forte disette, qui pourrait attirer des spectateurs, mais ils en veulent pas.

Netflix renonce à son projet d'organiser un mini-festival du cinéma dans les salles traditionnelles. La plateforme de streaming prépare cependant la diffusion de six films de 2021 et de trois avant-premières à la Cinémathèque française à Paris et l'Institut Lumière à Lyon.

lesechos.fr a écrit:

Netflix renonce à son mini-festival de cinéma avec des salles privées

Face à la grogne de la profession, le géant du streaming a renoncé à son projet d'organiser un mini-festival du cinéma dans les salles traditionnelles. Il fera un cycle de projection dans deux cinémathèques.

Par Marina Alcaraz
Publié le 27 oct. 2021 à 15:53 Mis à jour le 28 oct. 2021 à 16:48

Professionnels du cinéma : 1. Netflix : 0. Face à la levée de boucliers des organisations professionnelles du cinéma, le géant du streaming est revenu sur son projet d'organiser un mini-festival dans différentes salles.

Ces derniers jours, l'émotion était vive dans le milieu, alors que Netflix avait pris contact avec des cinémas en vue d'organiser une manifestation avec une rétrospective et des avant-premières de certains films. Un événement qui aurait dû se dérouler en décembre, avec potentiellement certaines salles du réseau MK2, d'autres du réseau Utopia et des cinémas indépendants, selon « Le Film Français ».

La manifestation n'avait pas encore été annoncée officiellement que les organisations ont tenté de la tuer dans l'oeuf… et elles y sont parvenues.

Netflix maintient bel et bien un événement, mais seulement dans deux lieux, qui sont aussi des musées : la Cinémathèque française à Paris et l'Institut Lumière à Lyon. Six films Netflix sortis en 2021 (dont « The Power of the Dog » de Jane Campion) et trois avant-premières (dont « La main de Dieu » de Paolo Sorrentino) seront projetés dans le cadre de ce « Netflix Film Club » en décembre. Le groupe américain n'a pas besoin de visa du CNC (Centre national du cinéma et de l'image animée) pour une telle manifestation.

« Nous avons été entendus » se félicite Marc-Olivier Sebbag, délégué général de la Fédération nationale des cinémas français.

Les organisations professionnelles s'étaient largement mobilisées, ces derniers jours. Les communiqués se sont bousculés comme celui commun des Distributeurs indépendants réunis européens (Dire) et du Syndicat des distributeurs indépendants (SDI), celui des cinéastes de l'Association du cinéma indépendant pour sa diffusion (Acid) ou encore la Fédération nationale des éditeurs de films (FNEF), (comptant Gaumont, Pathé, des filiales de studios américains).

La Fédération nationale des cinémas français (FNCF), représentant les exploitants, s'était jointe ce mercredi à la cohorte des protestataires.

« On n'a pas l'habitude de passer en force »

Les craintes étaient plus ou moins partagées par tous. Alors que les salles et distributeurs sortent d'une période noire avec la crise du covid, et que les entrées reprennent lentement depuis l'instauration du Passe sanitaire, les films de Netflix seraient en concurrence avec les films des circuits traditionnels. « Une telle initiative autour de productions Netflix viendrait priver ces films de séances et de salles au moment où ils en ont le plus besoin. La campagne marketing de la plateforme viendrait aussi éclipser la sortie de ces films », estimait la FNCF. « Ce serait se tirer une balle dans le pied de faire la promo de films qui ne passent pas au cinéma ! », ajoute Etienne Ollagnier, coprésident du SDI.

Ensuite, un festival de Netflix pouvait semer la confusion dans les esprits, à un moment charnière puisque les professionnels du secteur discutent de la chronologie des médias du cinéma , c'est-à-dire les fenêtres de diffusion des films (sur Canal +, en VOD etc.) après la salle en fonction de leur contribution au financement de la filière. Une place doit être faite dans cette chronologie aux plateformes de type Netflix puisqu'elles ont désormais des obligations de financement du septième art. « On est actuellement dans un processus où les plates-formes comme Netflix entrent pleinement dans l'écosystème traditionnel. Si Netflix avait persévéré dans son projet, cela aurait été perçu comme une incohérence par rapport aux discussions actuelles », résume Marc-Olivier Sebbag.

Du côté de Netflix, on avait tenté de calmer le jeu ces derniers jours. « On n'était que dans un processus de réflexion, a indiqué un porte-parole du géant du streaming aux « Echos », mercredi. On n'a pas l'habitude de passer en force ». Il vient d'en faire la preuve.

Netflix propose désormais des jeux mobiles gratuits compris dans l'abonnement. Sur Android et iOS, si votre abonnement est actif, vous pouvez donc jouer gratuitement à Stranger Things : 1984, Stranger Things 3 : Le Jeu, Shooting Hoops, Card Blast et Teeter Up. Les jeux sont récupérables directement depuis l'application Netflix. Ça donne vraiment envie, hein ? Bref, un peu biaisé comme annonce, puisque ce ne sont pas des jeux en streaming comme on s'y attendrait au départ, mais des jeux mobiles déjà existant que vous n'avez pas besoin d'acheter pour jouer.

https://about.netflix.com/en/news/netflix-acquisition-animal-logic

Netflix s'achète le studio d'animation Animal Logic (Happy Feet, La Grande Aventure Lego, Pierre Lapin...).

Selon Variety,  Disney+ vient de dépasser Netflix en termes d’abonnements :  221.1 millions dans le monde contre 220.7 millions pour la seconde.

À nuancer cependant : les chiffres de Disney+ comprennent aussi ceux de Hotstar, Hulu et ESPN+, des offres qui sont disponibles en plus dans certains pays.

Variety a écrit:

Disney Now Has More Total Streaming Subscriptions Than Netflix — but Disney Generates Much Lower Per-Sub Revenue

One headline number out of Disney’s quarterly results Wednesday seemed to show a notable milestone: The Mouse House had 221.1 million total subscriptions worldwide across its streaming services (Disney+, Disney+ Hotstar, Hulu and ESPN+). At first glance, that makes it look like Disney is now just ahead of Netflix, which ended Q2 with 220.7 million total paid subscribers.

But the value of those subscriber bases is much different.

Domestically, for example, Disney+ generated about 39% as much revenue per subscriber as Netflix for the second calendar quarter, a measure referred to in the finance world as ARPU (average revenue per user). And overseas, the contrast is even starker: Disney+ Hotstar, which is available in India and other Southeast Asian countries — and represents 38% of the overall Disney+ customer base — had an ARPU of $1.20/month for the quarter ended July 2, while Netflix had an ARPU of $8.83/month for the Asia Pacific region.

Separately, Netflix takes issue with comparing Disney’s subscriptions to Netflix’s subscribers. According to the way Disney tallies its streaming numbers, one household that takes the Disney Bundle — with Disney+, Hulu and ESPN+ — is counted as three separate subscriptions. A much better apples-to-apples comparison would show Disney’s unduplicated streaming subscribers (i.e., households), but that’s a figure the company does not disclose.

When Disney+ first launched in November 2019, it rapidly amassed market share by pricing the streamer at the low, low price of $6.99/month. That was nearly half Netflix’s standard plan at the time.

But that low entry point has meant Disney’s flagship streamer makes less money than Netflix, the historical category leader. For the three months ended July 2, Disney+ domestic ARPU (U.S. and Canada) was $6.27 per month, a 5% decline from the year earlier, likely the result of a skew toward the Disney Bundle and inclusion of Disney+ (and ESPN+) in Hulu’s live TV package. That’s compared with Netflix, which reported an ARPU of $15.95 per month in the U.S./Canada region for Q2, up 10% due to price increases.

Now Disney+ is trying to raise its profitability profile, as U.S. streaming subscriber growth has slowed for not just Disney+ but nearly every player in the biz. In the U.S. and Canada, Disney+ picked up just 100,000 paid subs in the recent quarter, to reach 44.5 million.

Concurrent with its earnings release, Disney announced a 38% price hike for the “premium” Disney+ no-ads version of the service, which will go up to $10.99/month on Dec. 8, 2022. That same day, the media company will introduce Disney+ Basic, an advertising-supported tier that will be available at the previous $7.99/month price.

That, of course, is designed to drive up Disney+’s ARPU, with the combo of the price increase (offset by the inevitable resulting churn) and the into of the ad-supported Disney+ Basic tier, which could produce higher ARPU if the Mouse House can successfully monetize it at the high ad rates execs have touted.

Hulu also is set for a price hike in Q4: On Oct. 10, the price of Hulu with ads will go up a buck, from $6.99 to $7.99 per month, while the ad-free tier will go up two dollars, from $12.99 to $14.99 per month. For the most recent quarter, the ARPU for Hulu’s subscription VOD service (available only in the U.S.) was $12.92 per month — down 2% year over year, again likely because of bundle discounts. That’s higher than Disney+, but still below Netflix’s ARPU in the region.

ESPN+ ARPU nosed up 2%, to $4.55/month, for the quarter ended July 2. As previously announced, ESPN+ rates will increase by three dollars monthly in August, going from $6.99 to $9.99 per month.

Disney expects Disney+ to reach profitability in fiscal year 2024 (which ends that September). In the most recent quarter, the media conglomerate’s streaming losses increased: Disney’s direct-to-consumer revenue was $5.06 billion for the quarter, up 19% — but below Wall Street expectations of $5.2 billion, per FactSet. The operating loss for the DTC segment ballooned to $1.06 billion, versus $293 million in the year-earlier period. (Netflix posted Q2 revenue of $7.97 billion and net income of $1.44 billion.)

“As a result of this slowdown in new subscriber additions, we have seen many in the industry pivot to a new wave of sobriety” — with a focus on streaming profitability, MoffettNathanson principal analyst Michael Nathanson wrote in an Aug. 11 research note. “We on Wall Street have taken notice. Gone are the sum-of-the-parts models using revenue multiples or even the metric of EV/content spending. From here on out, we hope the focus for streamers is return on invested capital and free cash flow generation.”

Also note that while Disney expects “core Disney+” growth to continue on its expected trajectory through 2024, the company cut projections for Disney+ Hotstar over that time period given the loss of Indian Premiere League cricket rights. With the warning about a slowdown in India, Disney lowered the subscriber target for Disney+ over to 215 million-245 million global subscribers by the end of its fiscal year 2024, down from 230 million-260 million previously.

La saison 5 de The Crown arrivera le 9 novembre 2022.

Le mois de novembre 2022 sur Netflix sera parfait pour moi avec la saison 5 de The Crown, la saison 2 de Young Royals et la saison 4 de Manifest

J'ai regardé les 5 premeirs épisodes de Cabinet of Curiosities. Mon préféré le 5ème. Apprécié le 2 et le 4 pour le message... J'ai ouvert un sujet, si ça tente quelqu'un.

Netflix vient de sortir 'The Playlist' une minisérie sur la naissance de Spotify. Ça a l'air super intéréssant.

J'ai regardé la série Mercredi et je dois dire que c'est une très bonne surprise.
J'ai dévoré cette saison en deux jours et j'espère qu'il y en aura une prochaine.

En ce moment période films : Saga Enola Holmes, divers films de Noël

Ma prochaine série va être Locke and Key.

En ce moment la série Wednesday et je pense retenter la série Mindhunter

Kayaka a écrit:

Ma prochaine série va être Locke and Key.

J'ai été déçu, beaucoup de lenteurs, certains épisodes il ne se passe rien.

La série Sur l'autel de la famille, j'adore c'est prenant !

*choupinette* a écrit:

J'ai regardé la série Mercredi et je dois dire que c'est une très bonne surprise.
J'ai dévoré cette saison en deux jours et j'espère qu'il y en aura une prochaine.

J’ai vraiment adoré ! J’ai tout regardé en une journée

Je regarde aussi Mercredi pour le moment et c'est assez sympa. Je pense que je vais très vite finir la série.

frodon69 a écrit:

Kayaka a écrit:

Ma prochaine série va être Locke and Key.

J'ai été déçu, beaucoup de lenteurs, certains épisodes il ne se passe rien.

Je ne serai pas aussi dur que toi... sur les deux premières saisons, j'ai trouvé ça rythmé, et très agréable.
Mais sur la troisième, on vire quand même dans le grand n'importe quoi. Il était temps que ça se termine.